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Comment vivez-vous vos émotions ?

Table des matières

Quel est le véritable rôle de vos émotions ? 

Les émotions sont au cœur de notre vie. Elles nous permettent de nous adapter, de vivre en société et de communiquer avec les autres. Elles agissent comme des indicateurs précieux : elles reflètent nos valeurs et expriment ce que nous ressentons profondément.

Mais il arrive parfois que ces émotions se mêlent, deviennent difficiles à comprendre, voire à réguler: tristesse, joie, colère, peur, dégoût…

Et vous, vous arrive-t-il de vous sentir submergé(e) ou dépassé(e) par vos émotions ?

Cet article s’adresse particulièrement à :

  • Celles et ceux qui souhaitent mieux comprendre et différencier les subtilités de leurs émotions.
  • Les thérapeutes qui souhaitent enrichir ou rafraîchir leurs connaissances sur la régulation émotionnelle.
  • Les élèves de notre école qui veulent approfondir leurs compétences sur ce sujet fondamental.

 

Cet article est le premier article d’une série de quatre articles. Vous verrez, nous allons explorer le sujet en profondeur. 

Les 10 émotions du genre humain : ce que la Gestalt nous apprend

Le pouvoir des émotions en Gestalt

Les émotions jouent un rôle clé dans la vie, et encore plus dans l’accompagnement en Gestalt.

Lorsqu’un Gestalt thérapeute accompagne une personne, que ce soit lors d’une première séance ou dans un travail au long cours, il ne se contente pas d’écouter. Il observe. Il prête attention à la manière dont la personne fonctionne, aux subtilités de son expression, et il ajuste son focus sur différents aspects selon les besoins.

Pour cela, la Gestalt offre des outils puissants, à la fois théoriques et pratiques, pour analyser et mieux comprendre les émotions. L’un des concepts fondamentaux enseignés à l’École Humaniste de Gestalt est la théorie révolutionnaire du self de Fritz Perls. Cette théorie propose une vision radicalement nouvelle : l’être humain n’est plus vu comme une structure fixe, mais comme un processus dynamique, toujours en mouvement.

Inspiré par Freud, Perls reprend le concept du “Ça”, qui représente le pôle pulsionnel de notre personnalité. Mais la Gestalt va plus loin et transforme ce modèle en introduisant le concept du “Corps-Ça”.

Mais alors, qu’entend-on exactement par le “Corps-Ça” et quel est son lien avec vos émotions ?

L’univers du « Corps-ça », centre des émotions ?

L’univers du « Corps-Ça » est celui de nos sensations et de nos émotions. C’est un espace riche et complexe où se joue une grande partie de notre expérience humaine.

Dans ce cadre, le thérapeute observe attentivement le fonctionnement du self de la personne qu’il accompagne, en portant une attention particulière au « Corps-Ça ». Que se passe-t-il au niveau de ses émotions ? Comment la personne vit-elle ses émotions au moment présent ? Quelles émotions ressent-elle pendant la séance, et à quelle fréquence ?

Certaines personnes arrivent en séance et, dès les premiers échanges, se montrent très touchées par leurs émotions. D’autres, au contraire, peuvent rester fermées émotionnellement pendant plusieurs semaines, voire plusieurs mois. Le thérapeute explore alors la vie émotionnelle du client :

  • Quelle est sa présence face à ses émotions ?
  • Est-il connecté à ce qu’il ressent ou, au contraire, coupé de ses sensations ?
  • Comment ses émotions se manifestent-elles dans l’espace thérapeutique ?
 

Ce travail d’observation et de mise en lumière est crucial. Il permet au thérapeute de poser un focus clair sur les émotions du client afin de faciliter des ajustements et des transformations significatives.

À présent, je vous propose de revisiter, une à une, les émotions qui nous traversent. Certaines d’entre elles peuvent se manifester de manière très vive. Mais rassurez-vous, le cerveau humain est parfaitement équipé pour gérer et accueillir toutes les émotions.

L’avènement des neurosciences

Aujourd’hui, grâce aux neurosciences, on arrive à mieux comprendre les émotions et surtout, on arrive à définir des émotions communes à tous genre humain.

On retrouve les émotions de base dans toutes les cultures et dans toutes les époques. Je vous laisse les découvrir et apprendre leurs nuances, comprendre leurs subtilités.

Voici donc les 10 émotions que chaque être humain est capable d’exprimer dans son “Corps-Ça”.

La joie, la reine des émotions ?

Dès la plus jeune enfance, on commence à sentir des émotions archaïques comme la joie, la satisfaction, la sensation qu’on est bien. L’enfant va sourire, ressentir de la joie parce qu’il va voir sa mère ou son père ou parce qu’on va lui donner à manger. Très vite, l’enfant va avoir accès à la joie.

La joie est quelque chose de tellement naturel et cela est vraiment important que vous vous autorisiez à la vivre chaque jour. Souvent, en tant qu’adultes on vit beaucoup moins de joie que les enfants.

Si c’est votre cas, c’est intéressant de voir ce qui se passe en vous et dans votre vie. En fait, c’est vraiment questionnant si vous vous autorisez peu de moments de joie dans votre vie !

La tristesse, l’émotion troublante qui se cache derrière nos relations

En Gestalt, la tristesse ne se vit pas seule. Elle peut cohabiter avec d’autres émotions comme la colère ou la peur.

Cette émotion est profondément liée à nos relations. Elle s’active face à l’absence d’un autre, lorsque nos attentes n’ont pas été comblées ou que quelqu’un important pour nous s’est éloigné.

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, la tristesse est une émotion essentielle. Elle nous aide à prendre conscience d’une perte : un être cher, une situation qui nous échappe ou une opportunité manquée.

Dans ces moments, notre corps mobilise son énergie pour se détacher de ce lien et pour chercher du réconfort, amorçant ainsi un processus de guérison.

La peur, l’émotion complexe aux vives couleurs

La peur est une émotion très complexe. Il y a deux sortes de peur, la peur “feu rouge” et la peur “feu vert”.

La peur feu rouge est là pour nous indiquer qu’il y a quelque chose qui ne va pas, qu’il y a potentiellement un danger imminent. La peur feu vert se matérialise lorsque l’on a peur mais qu’on peut quand même y aller. 

C’est relativement rare de ressentir une peur. Si on vit beaucoup de peurs, il y a un dysfonctionnement.

Ce n’est pas normal, par exemple, d’avoir beaucoup de peurs dans une journée.

Elle est liée à notre imaginaire, à notre projection. Elle nous communique plein de choses sur l’attachement, sur notre sécurité de base.

La colère, l’émotion tempétueuse pas si inutile que ça

C’est bien connu : lorsqu’un enfant n’obtient pas ce qu’il veut, il se met en colère. Et vous, comment réagissez-vous face à la frustration ou à un désaccord ?

La colère est une émotion puissante qui agit comme un signal d’alarme. Elle nous montre que quelque chose ne va pas : une frustration, un désaccord, ou encore une sensation d’injustice. Parfois, c’est un moyen pour notre corps et notre esprit de nous protéger lorsqu’on sent que nos limites sont franchies ou que quelqu’un empiète sur notre territoire, qu’il soit physique, émotionnel ou symbolique.

Cependant, si elle n’est pas bien gérée, la colère peut devenir envahissante. Nous risquons alors de basculer dans un mode de colère chronique, où tout nous irrite ou nous exaspère. Ce type de colère peut créer des tensions dans nos relations, nous épuiser, et parfois même masquer d’autres émotions comme la tristesse ou la peur.

La bonne nouvelle, c’est que la colère est une émotion que l’on peut apprendre à réguler. Bien exprimée, elle devient un outil précieux pour poser ses limites, affirmer ses besoins, et retrouver un équilibre intérieur.

Le dégoût, l’émotion baromètre de vos valeurs

C’est une émotion que l’on aime en général pas trop ressentir, mais qui est là pour nous avertir par exemple qu’on ne doit pas manger un aliment. 

Ainsi pour Darwin : « le mot dégoût, dans son acception la plus simple, s’applique à toute sensation qui offense le sens du goût. Il est curieux de voir combien ce sentiment est provoqué avec facilité par tout ce qui sort de nos habitudes, dans l’aspect, l’odeur, la nature de notre nourriture ».

Le dégoût nous montre également que quelque chose n’est pas dans nos valeurs. C’est un signal important. Il nous permet de nous connecter à nos valeurs. 

N’avez vous pas déjà ressenti un haut le coeur lorsque quelqu’un vous soutient un propos complètement à l’encontre de vos valeurs ?

L’amour, l’émotion qui va prendre soin de vous et des autres

L’amour et le caring : des forces puissantes

Le caring, c’est quoi ? C’est cette envie naturelle de prendre soin de l’autre, de lui apporter quelque chose, de répondre à ses besoins avec bienveillance. Et derrière le caring, il y a une force essentielle : l’amour.

L’amour, c’est ce sentiment profond qui nous pousse à aller vers l’autre, à nous connecter. Une maman, par exemple, va instinctivement aimer ses enfants et prendre soin d’eux sans effort particulier. Cet amour, lorsqu’il circule librement, est une énergie puissante qui ne demande rien en retour. Bien sûr, il peut arriver que des obstacles ou des blessures viennent tout compliquer, mais à la base, cet élan d’amour est naturel.

Rappelez-vous : nous sommes tous sensés être arrivés sur cette terre accueillis par l’amour, que ce soit celui d’une famille, d’un regard, ou même simplement d’un environnement qui a permis notre épanouissement. Cet amour initial est notre premier lien avec le monde, une ancre qui nous connecte à notre humanité.

Quand nous ressentons de l’amour, nous sommes animés par une envie : faire quelque chose pour l’autre. Ce peut être un geste, une parole, ou simplement une présence. Cet élan n’est pas calculé, il est spontané. Et en Gestalt, on voit combien cet amour et ce caring sont des moteurs dans nos relations, mais aussi des sources profondes de satisfaction et de sens dans nos vies.

La curiosité, l’émotion qui nous pousse à explorer

La curiosité est l’une des émotions de base de notre cerveau. C’est ce qui active notre centre de découverte, cette part de nous qui cherche à comprendre, à explorer, et à s’émerveiller.

Historiquement, cette émotion a été essentielle à notre survie. Sans curiosité, nous serions restés immobiles, incapables d’explorer notre environnement pour trouver de la nourriture, de nouvelles ressources ou des solutions aux dangers qui nous entouraient. Elle est profondément ancrée dans notre être, comme une boussole qui nous pousse à aller vers l’autre, à découvrir ce qui nous entoure, à apprendre.

Dans le langage de la Gestalt, on parle souvent du seeking, cette envie irrésistible d’apprendre et d’explorer. Le seeking est une force motrice, un élan qui nous connecte au monde et nous permet de progresser. Cette émotion, lorsqu’elle est cultivée, devient un outil précieux dans le métier de thérapeute.

Même après plus de 25 ans d’expérience, cette curiosité reste intacte pour moi. Elle se manifeste dans chaque séance, dans l’écoute des récits, des fonctionnements, et des univers intérieurs des personnes que j’accompagne. C’est une saine curiosité, tournée vers l’autre, non pas pour juger, mais pour mieux comprendre. Cette écoute attentive nourrit mon travail, mais aussi ma passion pour l’accompagnement.

Être thérapeute sans curiosité, ce serait comme naviguer sans boussole. Cette envie d’en savoir plus sur l’autre, d’explorer ses histoires, ses forces, et ses vulnérabilités est au cœur de notre pratique. La curiosité nous permet de poser des questions ouvertes, de découvrir des chemins insoupçonnés, et d’accompagner avec respect et humanité.

En cultivant cette curiosité, nous grandissons avec nos clients. Elle devient un pont entre notre expérience et leur monde, un moteur d’apprentissage mutuel qui enrichit chaque instant de la relation thérapeutique.

La surprise : une émotion intense et transformatrice

La surprise est une émotion vive, souvent brève mais très intense. Elle surgit lorsque nous sommes confrontés à l’inattendu, à quelque chose qui sort de nos habitudes ou de nos attentes. Cet étonnement, même fugace, est une véritable secousse émotionnelle qui nous connecte immédiatement au moment présent.

La surprise répond à un besoin fondamental : celui de vivre, de ressentir de la nouveauté et de l’étonnement. Elle apporte du mouvement, du changement, et réveille en nous une curiosité naturelle. Prenons un exemple simple : en cuisine, la surprise peut naître de saveurs inattendues, d’une texture inhabituelle, ou d’une température qui joue avec nos sens. Ces petites expériences, bien qu’apparemment banales, enrichissent notre quotidien et nous reconnectent à notre capacité d’émerveillement.

Mais la surprise n’est pas toujours facile à accueillir. Elle demande une part de lâcher-prise, car elle introduit un élément de changement ou d’imprévu. Certaines personnes, attachées à la stabilité et au contrôle, peuvent avoir du mal à vivre pleinement cette émotion. La surprise peut alors être perçue comme une intrusion ou un bouleversement qu’il faut gérer plutôt qu’apprécier.

Cependant, apprendre à accepter la surprise, c’est aussi s’ouvrir à des opportunités et à des découvertes. C’est permettre à la vie de nous emmener hors de nos sentiers battus. Dans un cadre thérapeutique, par exemple, la surprise peut se manifester lorsqu’un client prend conscience d’une vérité enfouie ou lorsqu’une session mène à des conclusions inattendues. Ces moments de surprise sont souvent des catalyseurs de transformation, car ils nous obligent à voir les choses différemment.

La surprise, lorsqu’elle est bien accueillie, devient une source de vitalité et d’apprentissage. Elle nous rappelle que la vie est faite de découvertes, et qu’en acceptant l’inattendu, nous ouvrons la porte à de nouvelles expériences qui enrichissent notre parcours.

Le désir, l’émotion tabou qui cache bien son jeu

Le désir est une émotion forte, et elle est avant tout une émotion liée au désir sexuel. Il arrive qu’on ressente un désir pour l’autre, et il est important de le voir comme quelque chose de naturel, et non de mauvais. Ce qui compte, c’est ce qu’on choisit d’en faire.

Dans notre société, on a parfois tendance à vouloir gommer ou aseptiser le désir. Pourtant, ressentir du désir, que ce soit dans la rue, au travail, ou dans un cadre intime, fait partie de l’expérience humaine. Ce n’est pas le désir en lui-même qui pose problème, mais la manière dont on le gère.

On est bien évidemment d’accord qu’il y a des abus, mais on peut éprouver à des moments du désir pour l’autre. On est pas maître de notre désir, il vient directement de notre corps-ça. 

L’important est d’être un être civilisé, humain, relationnel, avec des limites et de ne va pas faire n’importe quoi avec ce désir. Il ne faut pas confondre, ressentir et ce qu’on va faire avec le désir et comment on va agir.

En couple, par exemple, le désir est une chance. Désirer son partenaire nourrit la relation et permet de rester connecté à l’autre, d’explorer une complicité plus profonde.

Le désir est bien plus qu’un simple outil de reproduction laissé par l’évolution. C’est une manière de se connecter, de ressentir, et d’entrer en lien avec l’autre à un autre niveau.

La honte, l’émotion complexe qui déstabilise l’estime de soi

La honte est une émotion intense que nous ressentons lorsque nous avons l’impression d’avoir mal fait ou d’avoir été maladroits. Elle peut aussi surgir sous l’influence des autres, lorsque quelqu’un cherche à nous faire honte, intentionnellement ou non.

Ce qui rend la honte si particulière, c’est qu’elle est souvent amplifiée par une faible estime de soi. Plus nous doutons de nous-mêmes, plus cette émotion peut prendre de la place, parfois bien au-delà de ce qu’elle devrait. Mais attention, la honte est aussi une émotion adaptative. Elle nous alerte lorsque nous avons peut-être franchi une limite ou vécu quelque chose qui ne correspond pas à nos valeurs ou à celles de notre entourage.

Chez les enfants, la honte est particulièrement vive. Ils n’ont pas encore la capacité de prendre du recul, et lorsque quelqu’un se moque d’eux, ils ne savent pas en rire comme un adulte pourrait le faire. Cette émotion peut les envahir très rapidement, les laissant parfois démunis.

Pourtant, comprendre et accueillir la honte peut être une véritable force. Elle nous invite à réfléchir, à ajuster nos comportements, et surtout à mieux nous reconnecter à nous-mêmes et à notre environnement.

La culpabilité, amie indésirable ou amie morale ?

À l’École Humaniste de Gestalt, nous explorons en profondeur la culpabilité, notamment celle qui naît de nos actes. Et cette émotion, souvent mal perçue, mérite qu’on la comprenne mieux, car elle a un rôle clé dans nos relations et dans la société.

Il existe deux types de culpabilité.

  • La culpabilité qui ne sert à rien. Celle-ci peut être écrasante, souvent irrationnelle, et fait que certaines personnes se sentent coupables de tout… parfois même d’exister.
  • La culpabilité constructive. Celle-là nous connecte à notre sens moral. Elle se manifeste lorsque nous faisons quelque chose qui va à l’encontre de nos valeurs ou de notre éthique.

C’est cette deuxième forme qui est essentielle. Imaginez : sans culpabilité, nous n’aurions aucun repère pour ajuster nos comportements. Elle est un signal précieux : elle nous alerte que quelque chose ne va pas, que nous avons franchi une limite importante.

Prenons un exemple concret. Vous êtes en colère, vous dites un mot de trop à quelqu’un que vous aimez, et aussitôt, cette petite voix intérieure vous murmure : « Je n’aurais pas dû dire ça. » Cette culpabilité est un baromètre : elle vous montre que vous êtes allé trop loin, mais elle fait plus que ça. Elle vous donne l’élan de réparer, de vous excuser, et de restaurer la relation.

En réalité, la culpabilité est une force positive quand elle est bien comprise. Elle nous reconnecte à nos valeurs, nous aide à maintenir un équilibre dans nos relations, et nous pousse à agir pour mieux aligner nos actions avec ce qui compte vraiment pour nous.

Que se passe-t-il si vous n’arrivez pas à vivre vos émotions ?

Les 10 émotions que nous avons vu ensemble restent en général ponctuelles, équilibrées et s’estompent avec le temps. Mais, il arrive parfois que ces émotions perdurent, s’installent et s’ancrent en nous plus durablement. 

Nous avons du mal à les gérer, elles arrivent parfois même à nous submerger. On parle alors de dysfonctionnement émotionnel

J’ai toutefois une bonne nouvelle pour vous : savez-vous que quelque soit votre situation, il existe des outils puissants pour vous permettre de les réguler efficacement ? 

J’ai très hâte de vous les dévoiler, je vous en parlerai dans mon prochain article sur la régulation émotionnelle.

Avant de vous laisser, si vous avez envie d’aller plus loin dans votre compréhension des émotions grâce à nos stages, je vous invite à prendre rendez-vous avec un de nos conseillers pédagogiques. Ils sont à votre écoute et vous guideront dans vos objectifs de vie ou de formation pour devenir Gestalt Thérapeute.

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Arnaud Sébal

Cet article s'appuie sur le contenu fourni par Arnaud Sébal, directeur et fondateur de l'Ecole Humaniste de Gestalt

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Aurélie Marchand

Article écrit par Aurélie, rédactrice web de l'Ecole Humaniste de Gestalt et Gestalt praticienne

Je vous invite à me laisser un commentaire pour me dire ce que vous avez pensé de mon article. Je lis chacun de vos messages.

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Nous lisons attentivement chacun de vos messages. N’hésitez pas à nous laisser un commentaire ci-dessous pour partager vos impressions sur l’article

12 réponses

  1. merci beaucoup, vos explications m’aide beaucoup. j’ai lu en travers pour le moment mais j’ai saisi les émotions qui me perturbent et me perturbaient en générale.

    1. Enfin une explication claire et précise sur ce que sont vraiment les émotions. Belle façon de les définir avec la Gestalt !

  2. Merci Arnaud pour cette synthèse des principales émotions. J ai aimé la clarté de vos explications.
    Cela va me permettre de mettre des mots sur les émotions que je ressens.
    Bonne journée !
    Laetitia

  3. Très intéressant, ça me réconcilie avec mes émotions
    Moi qui me pense toujours «trop» avec mes émotions, le fait de savoir que c’est un indicateur de mes valeurs … J’ai hâte de commencer mon année sur l’attachement

    1. Merci à cette magnifique thérapie qu’est la Gestalt integrative que je découvre avec L’IFAS. Très émotive j’ai réussi à réguler mes émotions favorites comme la tristesse. Aujourd’hui j’accueille cette tristesse sans juger ni moi ni l’autre et ce nouveau regard m’apaise rapidement et me permet rapidement des prises de conscience qui renforce ma confiance en moi

    2. Avec plaisir Sylviane, nous vous souhaitons une excellente deuxième année. Vous allez voir, c’est une année juste extraordinaire !

  4. Eh bien cela me donne très envie de me créer mon calendrier journalier de mes émotions quotidiennes, pour d une part bien les conscientiser et ensuite d en avoir une cartographie.
    Merci aussi car c est bien concis.

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