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Changez de carrière : découvrez l’histoire inspirante d’Anna

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Changer de carrière, est-ce si facile ?

Lorsqu’Anna a rejoint l’école humaniste de Gestalt, elle était à un tournant de sa carrière. Aujourd’hui, elle est Gestalt praticienne et épanouie dans son cabinet.

Dans cet article, elle partage son histoire pour inspirer ceux qui envisagent une reconversion. Découvrez son parcours, ses défis, et les transformations qu’elle a vécues grâce à la Gestalt-thérapie.

Je l’ai récemment interviewée lors d’une conférence sur l’environnement soutenenant de notre école. Avec mon équipe, nous vous avons préparé l’extrait de cet interview. Vous allez voir comment Anna est partie d’un burn-out pour démarrer sa reconversion professionnelle vers le métier de Gestalt praticienne. 

Le déclic : “j’ai frôlé le burn-out”

Arnaud : Anna, merci d’être ici avec nous aujourd’hui. Vous avez un parcours fascinant. Qu’est-ce qui vous a amenée à envisager une reconversion de carrière?

Anna : Merci Arnaud, c’est un plaisir d’être ici. Tout a commencé avant mes 40 ans. J’avais une carrière stable dans l’industrie pharmaceutique. Pendant 15 ans, j’ai travaillé dans le développement international, avec beaucoup de voyages.

Au début, j’aimais ça, mais avec le temps, je me suis épuisée. J’ai frôlé le burn-out. Je me posais des questions existentielles : Pourquoi je fais tout ça ? Où est ma place dans le monde ?.

Arnaud : Ces questions ont-elles ouvert une réflexion plus profonde ?

Anna : Oui, j’ai compris que ce n’était pas qu’un problème de poste ou d’entreprise. J’avais besoin d’apporter de la valeur au monde, d’aider les autres, et de trouver un métier aligné avec mes valeurs, de changer de carrière

La découverte de la Gestalt-thérapie et de l’école

Arnaud : Comment avez-vous découvert la Gestalt et l’école humaniste de Gestalt ?

Anna : À l’époque, je voyais une psychologue formidable qui m’a soutenue dans cet objectif de changement de carrière. Par coïncidence, plusieurs amis m’ont parlé de la Gestalt. Leur enthousiasme m’a intriguée.

J’ai assisté à une de vos conférences. Ce que vous disiez sur l’humain, sur la relation thérapeutique, a profondément résonné en moi. J’ai senti que cette école correspondait à ce que je cherchais.

Arnaud : Qu’est-ce qui vous a convaincue de franchir le pas ?

Anna : Les valeurs de l’école. Tout était aligné avec ce que je voulais. La durée de la formation, plus courte que des études universitaires, était aussi un critère important. 

Mais je ne vais pas mentir : j’avais des peurs. Reprendre des études à mon âge, changer de carrière, tout cela était intimidant. Heureusement, dès le premier stage, Nouveau Départ, j’ai su que j’étais au bon endroit.

Les défis et les premières victoires

Arnaud : Parlez-nous des défis que vous avez rencontrés en début de formation.

Anna : Le plus grand défi, c’était mes croyances limitantes. Je suis d’origine polonaise. Par exemple, je pensais que mon accent polonais serait un frein. Mais à l’école, je n’ai jamais été jugée.

L’environnement est incroyablement bienveillant. J’ai appris que ce qui compte vraiment, c’est l’écoute et la qualité de présence. Ces peurs ont fini par disparaître grâce à l’appui des formateurs et des autres élèves.

Arnaud : Vous mentionnez souvent l’importance du groupe. Qu’avez-vous trouvé dans cette communauté ?

Anna : Une richesse incroyable. Mes camarades venaient d’horizons très variés, ce qui rendait les échanges passionnants.

J’ai découvert ce que signifie vraiment être soi-même, sans masque, dans un cadre sécurisant. Cela m’a permis de grandir non seulement comme future thérapeute, mais aussi comme personne.

Devenir Gestalt praticienne : apprentissage et transformation

Arnaud : Qu’est-ce qui vous a le plus marqué dans la formation ?

Anna : L’équilibre entre théorie et pratique. On apprend à écouter, à intervenir, mais surtout, on pratique beaucoup. Pendant les practicums, on accompagne nos collègues et on est très accompagnés.

Cela donne une vraie confiance en soi. À la fin de la formation, j’avais déjà vécu de nombreuses expériences d’accompagnement, ce qui m’a permis de démarrer mon activité sereinement.

Arnaud : La formation vous a-t-elle également aidée dans votre vie personnelle ?

Anna : Absolument. À l’époque, mon conjoint était malade et je devais m’occuper de nos six enfants. La formation m’a apporté des ressources incroyables pour traverser cette période difficile.

Elle m’a aidée à trouver de la force en moi, à développer ma résilience, et à mieux gérer les défis de la vie quotidienne.

L’épanouissement professionnel d’Anna

Arnaud : Aujourd’hui, vous êtes Gestalt praticienne et vous avez votre propre cabinet. Comment vivez-vous ce rôle et ce changement de carrière ?

Anna : C’est une immense satisfaction. Je reçois 25 clients sur deux à trois jours par semaine. Chaque séance est unique, remplie d’émotions et de transformations.

Voir mes clients évoluer est incroyablement gratifiant. Et ce qui est encore plus beau, c’est que chaque rencontre m’apporte aussi quelque chose. J’apprends autant qu’eux.

Arnaud : Vous dites souvent que c’est le plus beau métier du monde. Pourquoi ?

Anna : Parce que ce métier nourrit autant qu’il en demande. Bien sûr, on peut être fatigué après une journée, mais je me sens toujours vivante et remplie.

C’est un privilège d’aider quelqu’un à se reconnecter à lui-même, à le voir évoluer. Chaque transformation que je vois chez mes clients me rappelle pourquoi j’ai choisi ce chemin.

Un message pour les futurs élèves

Arnaud : Que diriez-vous à ceux qui hésitent à se lancer dans cette formation et qui veulent changer de carrière ?

Anna : Osez faire le premier pas, même si vous avez peur. Quand j’ai commencé, j’avais aussi des doutes. Mais avec un pas après l’autre, tout devient possible.

La formation est un cadeau que vous vous offrez. Elle ne transforme pas seulement votre carrière, mais aussi votre vie. Les ressources que vous développez vous aident dans tous les aspects de votre existence.

Arnaud : Qu’est-ce qui vous a aidée à dépasser vos peurs ?

Anna : Le cadre bienveillant de l’école. Les formateurs et les autres élèves créent un environnement sécurisant où l’on peut être soi-même. Cela change tout.

Et puis, il y a cette notion de famille d’âme que vous mentionnez souvent. À l’école, on rencontre des personnes avec qui on partage des valeurs profondes. C’est très puissant.

Il y a notre famille d’origine, la famille qu’on a construite, puis il y a aussi une famille d’âmes à qui on peut se confier dans la vie. 

On se donne la chance de rencontrer des gens qui ont les mêmes valeurs que nous. Et moi je suis très touchée de voir qu’il y a des gens qui sont formidables. Dans l’école, on est dans un environnement où l’on ne se sent pas seul.  On va sortir de l’isolement et on va vivre de belles rencontres. 

Vous pouvez bien vous entourer et après décider de nourrir ces relations qui vous font du bien et à qui vous faites du bien aussi. Donc cette famille d’âmes va avoir un impact incroyable de ressourcement, de confiance parce qu’on a besoin d’avoir des gens qui ont confiance en nous, qui nous encouragent. Il y a vraiment une solidarité dans notre école qui est absolument incroyable.

 

Changer le monde, une personne à la fois

Arnaud : Anna, merci pour ce témoignage. Vous êtes une source d’inspiration pour beaucoup.

Anna : Merci, Arnaud. Je suis profondément reconnaissante envers l’école et tout ce que j’y ai vécu. Sans cela, je ne serais pas là où je suis aujourd’hui.

Et vous, chers lecteurs, êtes-vous prêt à changer de vie ? Comme Anna, vous pouvez trouver un chemin aligné avec vos valeurs et vos aspirations. 

Si cette histoire vous inspire, pourquoi ne pas faire le premier pas ? 

L’école humaniste de Gestalt vous attend avec bienveillance et écoute. 

Découvrez une formation qui pourrait transformer votre vie et celle des autres. 

Si vous voulez aller plus loin dans votre changement de carrière, je vous invite à prendre un rendez-vous avec un conseiller pédagogique en cliquant ICI

Découvrez comment nos élèves ont transformé leur vie en regardant leurs témoignages

Image de Arnaud Sébal

Arnaud Sébal

Cet article s'appuie sur le contenu fourni par Arnaud Sébal, directeur et fondateur de l'Ecole Humaniste de Gestalt

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Aurélie Marchand

Article écrit par Aurélie, rédactrice passionnée qui anime le blog de l'EHG

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3 Responses

  1. Bonjour. Article motivant pour la future thérapeute que j’espère devenir.
    Par contre, Anna fait état de 20 à 25 clients reçus sur 2 à 3 jours. Cela me paraît beaucoup. Comment peut-on accueillir et écouter autant de personnes et nouer une vraie relation thérapeutique sans prendre plus de temps ?
    Merci pour votre retour.

    Florence

  2. Bonjour Aurélie Marchand et Arnaud Sébal,
    Merci pour cet interview inspirant et encourageant ! Aspirant à devenir praticien, un tel article rassure en plus de tous les accompagnement déjà mis en place par l’EGG.

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