Revivez la 2ème journée des portes ouvertes de l’école humaniste de Gestalt

La Gestalt humaniste au cœur de nos formations

Il y a des lieux qui résonnent autrement. L’école humaniste de Gestalt en fait partie : plus qu’un espace d’apprentissage, c’est un lieu vivant, animé par des personnes qui y mettent tout leur cœur.

L’histoire de notre école ne se résume pas à des dates ou des programmes. Elle s’est construite petit à petit, dans l’écoute des besoins de nos élèves, dans l’évolution des consciences et surtout… dans l’envie d’accompagner autrement. Depuis les premières promotions jusqu’aux 1500 élèves actuels, ce qui nous anime, c’est l’intention d’offrir un lieu qui permet une transformation profonde d’un point de vue personnel comme professionnel.

Et puis il y a l’équipe. Pas uniquement les formateurs, non. Il y a celles et ceux qu’on ne voit pas toujours à l’écran ou en salle, mais qui contribuent eux-aussi à faire rayonner l’école. Toutes ces personnes sont dévouées, impliquées, et elles ont suivi la formation. Et cela change tout. Parce qu’elles savent ce que ça demande, et ce que ça apporte.

Qu’est-ce qui fait la différence ? C’est que l’apprentissage n’est pas qu’intellectuel. Ici, on ne vous donne pas une théorie à mémoriser et à réciter par cœur. On vous propose de vivre les choses, de les ressentir, de les incarner. Parce que vivre la formation, faire l’expérience d’un regard bienveillant… c’est souvent ça qui transforme. Ici, on parle d’humain à humain. Et ce n’est pas rien.

Le changement sociétal et la perte de repères

Le monde change vite. Parfois trop vite. Depuis le COVID, on dirait que tout s’est accéléré. Ce qu’on croyait stable — nos repères, nos certitudes, nos routines — a été perturbé, et ce n’est pas qu’une impression. C’est une réalité vécue par beaucoup.

Peut-être que vous aussi, vous avez ressenti ce flottement… Cette impression d’être un peu perdu, sans boussole. Comme si les anciens cadres de référence (famille, travail, société) ne tenaient plus vraiment. Et au fond, ce n’est pas juste une crise sanitaire qu’on a traversé, mais une crise de sens.

Le stress ? Il est devenu un fond sonore permanent. On vit sous tension sans même s’en rendre compte. On dort mal. On s’essouffle. Et dans les métiers du soin, c’est devenu difficile : médecins, psychologues, thérapeutes… surchargés, débordés. Impossible d’avoir un rendez-vous avant trois mois, parfois.

Et pourtant, jamais les gens n’ont eu autant besoin d’écoute. Pas d’un discours rapide ou d’un conseil générique, non : d’une vraie présence. D’un espace pour déposer, pour souffler, pour dire « là, je n’en peux plus ». Parce qu’on est fatigué, oui, mais surtout parce qu’on sent que quelque chose doit changer.

Ce besoin de lien, de vérité, d’accompagnement… il grandit partout. On le voit dans les messages, dans les visios, dans les regards même. Et c’est là que la Gestalt humaniste trouve sa place.

La Gestalt comme réponse à la crise du sens

Il y a des périodes où on sent que nos repères intérieurs ne suffisent plus. Où on ne sait plus très bien comment avancer. C’est là que la question du sens devient brûlante : pourquoi je fais ce que je fais ? Est-ce que je suis encore aligné avec moi-même ? Et surtout… comment retrouver un peu de clarté dans ce flou ?

La Gestalt, va vous aider à répondre à ces questions-là en profondeur. Pas uniquement de façon théorique, mais en les vivant. En les ressentant. En les laissant circuler dans un espace sécurisé, accompagné.

C’est une approche qui regarde l’être humain dans sa globalité : corps, émotions, pensées… et cette fameuse part de soi plus profonde, qu’on appelle parfois « l’être » ou « le cœur ». Elle ne sépare rien. Elle met du lien. Entre ce qu’on ressent, ce qu’on pense, et ce qu’on vit. Et ce lien, croyez-moi, il peut tout changer.

Avec le temps, on apprend à apprivoiser ses émotions, à les écouter, à les comprendre… au lieu de ne pas les regarder. On sort de l’automatisme, de la réaction impulsive. Et petit à petit, on se sent plus libre.

Et puis, il y a cette joie tranquille qui revient. Pas une euphorie de surface. Plutôt une joie de fond. Celle d’être un peu plus soi-même, un peu plus vivant. Et rien que ça… ça vaut le détour.

Accompagner l’autre avec humanité : le passionnant métier de Gestalt thérapeute

Ce qui marque dans cette école, ce n’est pas juste ce qu’on y apprend. C’est surtout comment on y apprend à être là pour l’autre. Dans une époque où tout s’accélère, où beaucoup cherchent des réponses toutes faites, être un vrai accompagnant… c’est presque une forme de présence rare.

Un bon thérapeute Gestalt, ce n’est pas quelqu’un qui « applique une méthode ». C’est quelqu’un qui est là. Vraiment là. Avec tout ce qu’il est. Pas pour sauver, ni pour conseiller. Pour écouter. Accueillir. Offrir un espace où l’autre peut se dévoiler, ressentir, s’autoriser.

Ça demande de la clarté intérieure, une vraie bienveillance, celle qui accepte les doutes, les silences, les émotions — et surtout une présence incarnée. On apprend à réguler nos émotions. À rester. Même quand c’est inconfortable. Parce que c’est là que ça bouge.

Et aujourd’hui, ce genre de posture est de plus en plus recherchée. Il y a un vrai besoin de professionnels formés, solides, qui ne se perdent pas dans le rôle du sauveur. Des personnes capables de créer un lien humain, chaleureux, mais aussi rigoureux.

L’école le sait : la demande explose. Beaucoup de praticiens sont complets. Certains ne peuvent plus prendre de nouveaux clients. C’est dire à quel point le monde a besoin de ce type de présence. Et si c’était votre place, à vous aussi ?

Des relations plus saines, une vie plus créative

Avez-vous remarqué que parfois, on étouffe dans nos propres relations ? Trop de compromis, pas assez d’écoute, des colères, des « je vais bien » alors qu’à l’intérieur… pas du tout. Et ça finit par coincer. Pas qu’avec les autres, mais aussi avec soi.

En Gestalt, on apprend à remettre du vrai dans le lien. Pas à devenir parfait, ni à tout comprendre. Mais à poser des limites claires, à dire ce qu’on ressent, même si parfois, c’est brouillon, à oser dire non sans culpabiliser, et à rester en lien malgré ça.

C’est très puissant. Parce que vous découvrez que vous pouvez être vous-même… sans perdre l’autre. Et ça, ça change la donne dans la famille, au travail, en couple. Cela crée une autre qualité de relation : plus respectueuse, plus vivante.

Et puis il y a cette fameuse créativité. Pas celle qui consiste à peindre ou à écrire des poèmes — quoique, pourquoi pas — mais cette créativité d’être. Celle qui vous permet de vous ajuster, de faire autrement, de sortir de l’automatisme.

Vous devenez plus souple, moins enfermé dans le « je suis comme ça ». Vous pouvez créer votre propre chemin : dans votre vie professionnelle, dans votre couple, dans votre rapport au monde. Et tout cela… en découvrant en profondeur qui vous êtes.

C’est là que la Gestalt prend tout son sens : elle vous invite à créer ce que vous voulez vraiment être en prenant en compte votre self, vos parts de lumière et vos parts d’ombre. Juste vous. Pleinement humain.

Et si vous veniez vivre l’expérience ?

Il y a des moments où, simplement, on sent que c’est le bon timing. Que quelque chose nous appelle, sans trop savoir pourquoi. Peut-être que la lecture de cet article résonne en vous. Peut-être que ce n’est pas un hasard si vous avez lu toutes ces lignes.

Ce que cette deuxième journée des portes ouvertes a révélé, c’est avant tout une soif de vrai, des transformations vécues vers un nouveau chemin intérieur. Beaucoup ont témoigné de leurs prises de conscience, de ce que ça avait éveillé en eux. Parfois une émotion, parfois une envie de changement, parfois juste… une paix.

Et si c’était à votre tour de vivre cette expérience ? Pas pour « devenir quelqu’un d’autre », mais peut-être pour retrouver cette part de vous qui a envie de respirer plus librement, de créer autrement, de se sentir vivant.

Vous pouvez commencer simplement en prenant rendez-vous avec un de nos conseillers pédagogiques pour en parler, sans pression. Juste voir si c’est le bon moment, si c’est la bonne voie pour vous.

Parce que parfois, un simple pas suffit pour changer tout le paysage.

Je prends rendez-vous avec un conseiller pédagogique

Je vous invite à me laisser un commentaire pour me dire ce que vous avez pensé de mon article. Je lis chacun de vos messages.

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Foire aux questions (FAQ)

Qu’est-ce qu’on vit concrètement pendant une Journée Portes Ouvertes en Gestalt ?
Vous participez à des temps d’échange, d’expérimentation, d’écoute active. Ce n’est pas une présentation classique : vous vivez une immersion dans l’approche Gestalt. Même en visio, on ressent, on comprend, on touche du doigt ce que cette méthode propose.
En quoi la Gestalt thérapie est-elle différente des autres formes de thérapie ?
La Gestalt se vit dans l’instant présent. Elle met l’accent sur l’expérience, sur la conscience de soi ici et maintenant. Ce n’est pas une analyse du passé, c’est une rencontre avec ce qui est vivant aujourd’hui, dans le corps, les émotions, la relation.
Est-ce que cette formation est adaptée si je suis en reconversion professionnelle ?
Oui. La plupart des personnes qui nous rejoignent sont justement en transition. Les formats sont pensés pour cela, avec des week-ends, des temps en visio, et un accompagnement personnalisé. Vous avancez à votre rythme, dans un cadre bienveillant.
Que signifie “vivre selon les saisons intérieures” dans la formation Gestalt ?
C’est une manière de reconnaître ses propres rythmes : temps de pause, d’élan, de récolte. Comme la nature, vous avez vos hivers et vos printemps. On vous apprend à écouter ces cycles pour mieux vous comprendre et vous ajuster dans vos choix.
Est-ce que je dois déjà avoir une expérience en thérapie pour m’inscrire ?
Pas du tout. Ce qui compte, c’est votre envie d’avancer, de vous engager dans un processus vivant. La formation vous accompagne pas à pas, même si vous partez de zéro. Et si vous hésitez, un simple rendez-vous avec un conseiller peut déjà éclaircir beaucoup de choses.